Review : Star Wars 1


Ce mois-ci débarquait un nouvel arrivant dans l'univers Star Wars, le nouveau bimestriel de chez Panini Comics débarquant au jour symbolique du Star Wars Day, le 4 mai. Alors vous me direz, mais qu'est ce que tu fiches ton blog est consacré à Marvel non? Et bien oui! Mais avec la reprise de la licence Star Wars par Marvel / Disney, c'est Marvel qui reprend les reines des comics Star wars avec le nouvel univers étendu remplaçant celui que les fans connaissent dans "Légendes" publié par Delcourt. Et puisque je ne cache pas que je suis absolument fan de cette saga cosmique, c'est avec joie que je vous annonce l'arrivé de ses nouveaux comics et au passage d'une nouvelle rubrique sur le blog! 


Il a été accueilli en grande pompe, puisque pas moins de 15 couvertures variantes étaient proposées! Certaines en exemplaires limités voir très limités (je pense notamment à celle de Scottie Young tirées à 700 exemplaires pour la modique somme de 75€). De quoi ravir les collectionneurs.
Tout d'abord, dans le titre je parle du numéro "1"... mais je devrais dire 001, comme il est annoté sur la revue (çà voudrait dire 100 numéros ?...).
Personnellement, comme vous pouvez le voir ci-dessus, j'ai choisie la couverture Adi Granov représentant le seigneur Dark Vador, mais si je m'étais écouté sans que mon porte feuille ne me dise "craquer ton slip, tu ne feras pas" j'aurais également acheté la couverture de Ramon Perez avec Boba Fett. (non en fait si j'avais été riche je les aurais toute acheter).


Le format 

 Panini nous propose ici un format que les amateurs de comics mensuels connaissent déjà tous, un format "revue", souple, qu'en revanche les lecteurs habituels de comics Star Wars ne connaissent pas puisque les albums par Delcourt sont en format cartonné et rigide. Pour moi qui suit amatrice de revues mensuelles je n'en suis que ravie, c'est plus facile à prendre en main pendant la lecture, çà prend moins de place dans la bibliothèque (et Dieu sait que j'ai besoin de place), et on peut le prendre partout (notamment dans le sac à main, pour les trajets ennuyeux. Moi qui fait souvent de long trajet en voiture, c'est plus pratique qu'un gros format qui pèse !).

Le contenu / Rapport qualité prix 

D'abord, on va faire un petit zoom sur le prix. Pour 5€50, nous avons droit à 120 pages dédié au nouvel univers étendu officiel, avec 2 mini séries : "Livre I : Skywalker passe à l'attaque" n°1 et 2, et "Livre I : Vador" n°1 et 2. Ce qui nous fait 4 histoires dans ce bimestriel ! Un très bon rapport qualité/prix pour le coup.

Ma critique 


 A peine la revue entre les mains que je sauté de joie. Premier gros point fort de ce Star Wars #1 : le début de la série commançant par "Il y a longtemps, dans une galaxie lointaine, très lointaine..." bleuté. Puis, en tournant la page, que vois-je -ne calmant pas mon hystérie- ?, un IMMENSE "Star Wars" jaune avec un fond étoilé, avec en suivant un résumé, replaçant les événements, quelque chose de mythique dont on se rappelle tous au début des films de Georges Lucas. Il ne m'en fallait pas plus. Voilà, fin de la review. Les clins d'oeils s'enchainent avec la première scène de la première histoire " Livre I : Skywalker passe à l'attaque" n°1, avec l'apparition d'un vaisseau, s'approchant d'une planète (ici Cymoon 1), scène déjà vue maintes et maintes fois puisque, rappelez vous, c'est comme cela que commence chacun des films Star Wars! Par ailleurs et je pense qu'il important de le préciser si vous ne vous êtes pas du tout renseigné sur ce titre, l'histoire se déroule officiellement après le tout premier volet (ou le quatrième dans la continuité) de la saga, "Star Wars : Un nouvel espoir " après la chute de l'Etoile Noire. Bref, vous l'aurez compris, si vous êtes fan de Star Wars, vous pouvez courir dans votre librairie. 

Revenons en à la première série de ce comic : Dans le vaisseau en approche - qui est en fait une navette de Tattooine - de la planète Cymoon 1, planète industrielle détenue par l'Empire, se trouve l'équipe que l'on connait tous : Han Solo, Luke , Leia , et R2-D2. Sur place, les attendent déjà Chewbacca et C3-PO pour une mission d'infiltration qui va vite tourner au vinaigre quand le jeune Skywalker va vouloir sauver des esclaves et se fera repérer par le grand Seigneur Sith en personne : Dark Vador... Avec une rencontre inédite entre les deux personnages ! Qu'ici se fait bien avant l'épisode V que l'on connait tous.
Dès cette première série et en si peu de pages, on sent déjà un réel plaisir des scénaristes et des dessinateurs sur le titre (Jason Aaron et John Cassaday pour Skywalker passe à l'attaque et Kieron Gillen et Salvador Larroca pour Vador), qui sont réellement d'ailleurs fans et accro à cet univers. Chose qui se ressent et nous plonge complètement dans l'histoire. Qui plus est, les scénaristes Aaron et Gillen ont brillamment lié les deux mini séries. Les clins d’Å“ils ne cessent le longs de pages, en passant par les caractères des personnages (le caractère de cochon et stricte de Leia, la maladresse de C3-PO etc), les répliques faisant références à Star Wars IV. Bref, je vous laisse le plaisir de le dénicher une par une! Personnellement, quand je lisais, j'entendais les cris de R2-D2 et de Chewie dans ma tête, ainsi que les musiques désormais cultes. Clairement, on y est, et les scénariste tiennent parfaitement le bon bout.

Ensuite, le comic book continue avec la suite de la série "Skywalker passe à l'attaque" n°2 que je ne vous résume pas pour vous garder la part de mystère. 
Côté dessin, John Cassaday fait le job avec des personnages représentant parfaitement les acteurs de la saga (Je pense notamement à Han Solo qui ressemble au portrait craché de Harrison Ford jeune) pour une immersion encore plus totale. Les dessins sont modernes, très réaliste et surtout dynamique.

Passons à la deuxième série de ce bimestriel : "Livre I : Vador ". Après l'échec cuisant de Yavin et la destruction de l'Etoile Noire, le Seigneur Dark Vador se voit un peu linché par son maître l'Empereur Palpatine, qui lui confie les tâches les plus ingrates, ainsi que par ses "co-équipiers" si je puis dire, comme le Général Tagge, qui lui tape grandement sur le système. L'une de ses missions étant de retourner sur Tattooine - alors qu'il s'était juré de ne jamais y remettre les pieds (cc le flash black) - pour rencontrer, et négocier avec Jabba le Hutt. Là bas, Vador embauche deux chasseurs de primes devant débusquer les Rebelles ayant saboté une des bases impériales. C'est la que les 2 arcs narratifs des deux séries se rencontrent et où c'est très bien mené. Les deux séries ne forment qu'une. Quand a Vador, il assemble progressivement les pièces du puzzle vis à vis du jeune Luke Skywalker. On sent  la tension qui règne sur Vador, la pression qu'il lui pèse dessus, que la rage le ronge et que la soupape du Seigneur Sith va expressément explosée.
Pour finir, les dessins sont justes époustouflants. Le travail de Larroca sur Vador est sublime, le jeu de lumière sur sa tenue et les reflets créer sont magnifiques. La noirceur de se récit ressort visiblement. Je suis conquise sur les dessins !


Les futures sorties 



Octobre 2015 : 
  • Tome 1 de Star Wars 
  • Tome 1 de Dark Vador
Novembre 2015 :  
  • Princesse Leia
  • Kanan, le dernier Padawan


Décembre 2015 : (oh mais il y a le septième volet qui sort ce mois-ci ?!)
  • Shattered Empire



Conclusion 

Avec ce nouvel univers étendu de Star Wars, ce brimestriel promet bien des choses : Permettre au novice de se lancer mais également au fans de se replonger dans leur saga préféré puisqu'il y a tout de même de gros clins d’Å“il bien placés. Le pari est à mes yeux réussi. Les deux arcs narratifs des deux histoires publiées dans cette revue (qui ne pourrait qu'en former qu'un seul, d'ailleurs) nous laisse sur notre grande faim, et je pense que je vais me jeter sur le deuxième numéro. Personnellement je suis conquise !


N'hésitez pas à réagir par commentaires ou sur les réseaux sociaux vis ! Est ce que cette nouvelle rubrique vous a plu ? Ainsi que la review ? Et surtout n'hésitez pas à me dire si vous l'avez lu et à me donner vos impressions ♥

Laure.

Laure Eileen Rose

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